Un petit diamant assez terne paraît toujours avoir plus d'éclats si on la remue que si on le laisse au repos. Aimé une femme est savoir s'armer de moments imprévus.
À toi ma céleste beauté,
Ce matin, je suis allé courir autour de l’étang qui n’est pas loin de chez-moi. En parfaite communion avec la nature, mes pensées n’ont pas cessé d’imaginer toute la beauté de la vie que je voudrais te faire découvrir avec moi. Par exemple, la nature recèle une telle beauté que seuls des yeux attentifs peuvent l’entrevoir. De même, l’amour suprême recèle des secrets cachés que seuls des cœurs aimants peuvent entrevoir ses sensations.
J’ai toujours aimé à imaginer que l’amitié entre un homme et une femme était un chemin de fadeur. J’ai toujours cru que les femmes ne sont pas faites pour ce sentiment. J’ai toujours cru que les femmes ne sont là que pour exprimer la beauté de leurs cœurs plutôt la beauté de leurs esprits.
Mais avec toi, j’ai compris que je me suis trompé. Tu sais accéder à un plan intellectuel où l’amitié entre un homme et une femme peut se développer.
Aujourd’hui, j’ai enfin une amie, une seule et elle est ma céleste beauté. Au fait, tu portes le même prénom que la bien-aimée dans le journal d’un séducteur de Søren Kierkegaard, « Cordélia ». C’est un prénom qui se déploie et enivre tous les séducteurs assoiffés d’amour.
Dans notre amitié comme dans notre amour, il n’y a pas d’autre but que l’approfondissement de notre esprit et de notre cœur. On atteint dans ce type de relations dans ce que j’aime à appeler le bonheur suprême.
Je ne sais pas si tu as pu faire l’expérience. En amitié, toutes pensées, tous désirs et toutes attentes naissent sans paroles et se partagent dans une joie muette. Ce luxe, je le réserve uniquement à toi ma Cordélia.
Ton infinicyril
J’ai toujours aimé à imaginer que l’amitié entre un homme et une femme était un chemin de fadeur. J’ai toujours cru que les femmes ne sont pas faites pour ce sentiment. J’ai toujours cru que les femmes ne sont là que pour exprimer la beauté de leurs cœurs plutôt la beauté de leurs esprits.
Mais avec toi, j’ai compris que je me suis trompé. Tu sais accéder à un plan intellectuel où l’amitié entre un homme et une femme peut se développer.
Aujourd’hui, j’ai enfin une amie, une seule et elle est ma céleste beauté. Au fait, tu portes le même prénom que la bien-aimée dans le journal d’un séducteur de Søren Kierkegaard, « Cordélia ». C’est un prénom qui se déploie et enivre tous les séducteurs assoiffés d’amour.
Dans notre amitié comme dans notre amour, il n’y a pas d’autre but que l’approfondissement de notre esprit et de notre cœur. On atteint dans ce type de relations dans ce que j’aime à appeler le bonheur suprême.
Je ne sais pas si tu as pu faire l’expérience. En amitié, toutes pensées, tous désirs et toutes attentes naissent sans paroles et se partagent dans une joie muette. Ce luxe, je le réserve uniquement à toi ma Cordélia.
Ton infinicyril
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